jeudi 13 décembre 2007


SOURCES :


On a profité des travaux de Monsieur Arnaud, de St. Georges d’Oleron, de ceux du Dr. Pelletier, également de St. Georges. On a utilisé les données de l’Abbé Béliard, les écrits de l’Abbé Tugdual Rawl, les données des archives Nationales de France ( par l’intermédiaire du site Histoire-Passion, sur Internet ) On a eu accès au Cartulaire de l’Abbaye de Vendôme et aux archives historiques de la Saintonge et de l’Aunis. On a consulté les annales des sociétés savantes et le Coûtumier de l’Ile d’Oleron. On a utilisé les travaux de M. Desgraves. On a consulté les publications de l’Office du Tourisme de St. Georges d’Oleron.
On a surtout beaucoup observé l’église, ses pierres, ses “blessures”, ses “coutures”, ses sculptures :


L’observation des murs et des voûtes, intérieurement et extérieurement, est des plus instructives quand on utilise une bonne paire de jumelles. Il faut surtout se débarasser de tout à priori et ne recevoir pour véritable que ce qui est attesté :


Ainsi, à ceux qui prétendent que le grand portail de l’église est ornée d’algues marines, on répondra : “Montrez-les moi”. Pour l’instant il faut répondre la même chose à ceux qui parlent de souterrains.


UN GRAND MERCI A TOUS CEUX QUI ONT, D’UNE FACON OU D’UNE AUTRE PARTICIPÉ
AU SAUVETAGE ET A LA MISE EN VALEUR DE CET ÉDIFICE.

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